- EAN13
- 9782226341716
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 07/2015
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 18,25
« J'écris cela au début d'un siècle, n'importe lequel, de quelque part en
France. Il a gelé la nuit dernière, nous verrons à la Pentecôte, peut-être
avant, si les rosiers auront résisté. J'ai retrouvé le pull-over rouge que la
femme du Duc avait tricoté pour Stéphane. Je ne prendrai pas froid. Ma mère
m'appelle mon grand . Plus rien ne presse. »
Le dernier volet du Journal de Pascal Sevran, commencé avec l'immense succès
de La Vie sans lui.
« Des phrases ciselées, des mots essentiels, des aphorismes qu'on aurait aimé
avoir trouvés avant lui. »
Maryvonne Ollivry, Madame Figaro
« Ceux qui savent aimer à ce degré rendent le monde meilleur. »
Christine Arnothy, Le Parisien
« Depuis combien de temps n'avait-on pas dit avec des mots aussi justes le
vide de l'absence ? La plume ne tremble pas sous le coup de l'émotion. Pascal
Sevran montre une rare maîtrise du journal intime. »
François Dufay, Le Point
« Le sens de la maxime à la Chardonne, la vivacité d'esprit à la Morand. Un
constant régal. Un genre superbement dominé. »
Gilles Pudlowski, Le Point
« Il faut du style pour exprimer cette nostalgie qui va de l'avant. J'appelle
cela de la littérature. »
Yann Moix, Elle
« Dans les bibliothèques, Sevran figurera parmi les plumes les plus brillantes
près de Morand, Jules Renard ou Léautaud. »
Jérôme Béglé, Paris-Match
France. Il a gelé la nuit dernière, nous verrons à la Pentecôte, peut-être
avant, si les rosiers auront résisté. J'ai retrouvé le pull-over rouge que la
femme du Duc avait tricoté pour Stéphane. Je ne prendrai pas froid. Ma mère
m'appelle mon grand . Plus rien ne presse. »
Le dernier volet du Journal de Pascal Sevran, commencé avec l'immense succès
de La Vie sans lui.
« Des phrases ciselées, des mots essentiels, des aphorismes qu'on aurait aimé
avoir trouvés avant lui. »
Maryvonne Ollivry, Madame Figaro
« Ceux qui savent aimer à ce degré rendent le monde meilleur. »
Christine Arnothy, Le Parisien
« Depuis combien de temps n'avait-on pas dit avec des mots aussi justes le
vide de l'absence ? La plume ne tremble pas sous le coup de l'émotion. Pascal
Sevran montre une rare maîtrise du journal intime. »
François Dufay, Le Point
« Le sens de la maxime à la Chardonne, la vivacité d'esprit à la Morand. Un
constant régal. Un genre superbement dominé. »
Gilles Pudlowski, Le Point
« Il faut du style pour exprimer cette nostalgie qui va de l'avant. J'appelle
cela de la littérature. »
Yann Moix, Elle
« Dans les bibliothèques, Sevran figurera parmi les plumes les plus brillantes
près de Morand, Jules Renard ou Léautaud. »
Jérôme Béglé, Paris-Match
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