- EAN13
- 9782252041314
- Éditeur
- Klincksieck
- Date de publication
- 09/03/2018
- Collection
- Les Mondes de l'art
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Le Cicerone
Guide du plaisir esthétique dans les œuvres d'art d'Italie
Jacob Burckhardt
Klincksieck
Les Mondes de l'art
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Papier - Klincksieck 35,50
Compagnon de tout amateur d’art désireux de visiter l’Italie, le Cicerone de
Jacob Burckhardt (Bâle, 1818-1897) a connu une immense notoriété au XIXe
siècle. Un succès dû non seulement à la précision avec laquelle l’auteur a
recensé et décrit les oeuvres d’art, mais aussi à l’objectif qu’il s’était
donné : initier le lecteur à la beauté en lui apprenant à s’en emparer et à en
jouir, en lui apportant, au-delà des éléments historiques, de quoi alimenter
sa réflexion et former sa sensibilité. Les analyses proposées par Burckhardt,
d’une rare pertinence et d’une totale liberté, donnent la mesure de
l’étonnante capacité de compréhension de l’un des plus grands esprits de son
siècle. Historien mais aussi philosophe, pénétré de Platon et de Hegel,
admirateur de Winckelmann, il a proposé une approche nouvelle des oeuvres
d’art, les considérant enfin pour elles-mêmes et non comme les seuls produits
d’une culture ou d’une civilisation – démarche qu’il a illustrée ensuite dans
ses célèbres ouvrages sur la Renaissance en Italie. Paru en 1855, le Cicerone
original de Burckhardt n’a jamais été, à ce jour, traduit et édité en France.
Seule existe une traduction, inégale et parfois fautive, parue en 1885,
établie d’après une édition corrigée – et déformée – par divers spécialistes.
Cette publication restitue donc pour la première fois, dans une traduction
nouvelle, l’intégralité du texte tel que Burckhardt l’a conçu. Jean-Louis
Poirier, professeur, spécialiste de philosophie antique et auteur de diverses
contributions en histoire de la philosophie ou en sciences humaines, est
passionné de culture italienne (Ne plus ultra, Dante et le dernier voyage
d’Ulysse, 2016). La poursuite obstinée d’une interrogation philosophique et
l’amour de l’Italie le destinaient naturellement à faire connaître le Cicerone
en France.
Jacob Burckhardt (Bâle, 1818-1897) a connu une immense notoriété au XIXe
siècle. Un succès dû non seulement à la précision avec laquelle l’auteur a
recensé et décrit les oeuvres d’art, mais aussi à l’objectif qu’il s’était
donné : initier le lecteur à la beauté en lui apprenant à s’en emparer et à en
jouir, en lui apportant, au-delà des éléments historiques, de quoi alimenter
sa réflexion et former sa sensibilité. Les analyses proposées par Burckhardt,
d’une rare pertinence et d’une totale liberté, donnent la mesure de
l’étonnante capacité de compréhension de l’un des plus grands esprits de son
siècle. Historien mais aussi philosophe, pénétré de Platon et de Hegel,
admirateur de Winckelmann, il a proposé une approche nouvelle des oeuvres
d’art, les considérant enfin pour elles-mêmes et non comme les seuls produits
d’une culture ou d’une civilisation – démarche qu’il a illustrée ensuite dans
ses célèbres ouvrages sur la Renaissance en Italie. Paru en 1855, le Cicerone
original de Burckhardt n’a jamais été, à ce jour, traduit et édité en France.
Seule existe une traduction, inégale et parfois fautive, parue en 1885,
établie d’après une édition corrigée – et déformée – par divers spécialistes.
Cette publication restitue donc pour la première fois, dans une traduction
nouvelle, l’intégralité du texte tel que Burckhardt l’a conçu. Jean-Louis
Poirier, professeur, spécialiste de philosophie antique et auteur de diverses
contributions en histoire de la philosophie ou en sciences humaines, est
passionné de culture italienne (Ne plus ultra, Dante et le dernier voyage
d’Ulysse, 2016). La poursuite obstinée d’une interrogation philosophique et
l’amour de l’Italie le destinaient naturellement à faire connaître le Cicerone
en France.
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