- EAN13
- 9782252046883
- Éditeur
- Klincksieck
- Date de publication
- 10/06/2022
- Collection
- Les mondes de l’art
- Langue
- français
- Langue d'origine
- italien
- Fiches UNIMARC
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La vie de Benvenuto Cellini écrite par lui-même (1500-1571)
Benvenuto Cellini
Klincksieck
Les mondes de l’art
Autre version disponible
-
Papier - Klincksieck 25,90
Fabuleuse destinée que celle de Benvenuto Cellini (1500-1571), orfèvre et
sculpteur de la Renaissance, dont la renommée a dépassé les frontières de
l’Italie. Pour les grands du monde qui forment alors sa clientèle – papes,
ducs, ou roi comme François Ier –, il cisèle, martèle, fond l’or, l’argent ou
le bronze avec une virtuosité sans pareille, tout en restant jaloux de sa
liberté et de ses choix d’artiste. Mais c’est le récit de sa vie qui le rendra
célèbre. Publiée pour la première fois en 1728, traduite par Goethe,
l’autobiographie de Benvenuto Cellini a connu en effet un extraordinaire
succès au XIXe siècle, inspirant notamment Lamartine ou encore Berlioz, qui en
fit un opéra. Dans ces Mémoires, véritable roman de cape et d’épée, le héros
vit mille aventures : passant d’une ville à l’autre, poursuivi pour
assassinat, emprisonné par le pape, accusé de vol et de sodomie, il se révèle
jouisseur et sans scrupules, violent et hâbleur, tout en se donnant toujours
le beau rôle. Mais qu’importe l’absence d’objectivité tant l’auteur nous
emporte dans sa fièvre et ses éclats, peignant une époque nourrie de rivalités
et de complots, mais d’où ont surgi des artistes incomparables comme Titien ou
Michel-Ange, qui fut pour Cellini le modèle absolu. Cette nouvelle édition est
pour la première fois accompagnée d’illustrations qui donnent vie aux
personnages de ce récit et présentent les œuvres de Cellini citées par
l’artiste lui-même.
sculpteur de la Renaissance, dont la renommée a dépassé les frontières de
l’Italie. Pour les grands du monde qui forment alors sa clientèle – papes,
ducs, ou roi comme François Ier –, il cisèle, martèle, fond l’or, l’argent ou
le bronze avec une virtuosité sans pareille, tout en restant jaloux de sa
liberté et de ses choix d’artiste. Mais c’est le récit de sa vie qui le rendra
célèbre. Publiée pour la première fois en 1728, traduite par Goethe,
l’autobiographie de Benvenuto Cellini a connu en effet un extraordinaire
succès au XIXe siècle, inspirant notamment Lamartine ou encore Berlioz, qui en
fit un opéra. Dans ces Mémoires, véritable roman de cape et d’épée, le héros
vit mille aventures : passant d’une ville à l’autre, poursuivi pour
assassinat, emprisonné par le pape, accusé de vol et de sodomie, il se révèle
jouisseur et sans scrupules, violent et hâbleur, tout en se donnant toujours
le beau rôle. Mais qu’importe l’absence d’objectivité tant l’auteur nous
emporte dans sa fièvre et ses éclats, peignant une époque nourrie de rivalités
et de complots, mais d’où ont surgi des artistes incomparables comme Titien ou
Michel-Ange, qui fut pour Cellini le modèle absolu. Cette nouvelle édition est
pour la première fois accompagnée d’illustrations qui donnent vie aux
personnages de ce récit et présentent les œuvres de Cellini citées par
l’artiste lui-même.
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