- EAN13
- 9782379337338
- Éditeur
- Passés Composés
- Date de publication
- 09/2021
- Collection
- Hors collection Passés composés
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
La dernière passion de Napoléon
La bibliothèque de Sainte-Hélène
Jacques Jourquin
Passés Composés
Hors collection Passés composés
Autre version disponible
-
Papier - Passés Composés 24,00
À Sainte-Hélène, Napoléon n’était pas seulement un prisonnier en conflit avec
ses geôliers, il était encore et toujours un homme d’action. En plus de dicter
ses mémoires, il a eu une passion méconnue et dévorante : sa bibliothèque. Il
finit par s’y investir totalement, comme dans le seul domaine où il pouvait
retrouver son pouvoir perdu. Les livres étaient désormais les seuls champs de
bataille sur lesquels il pouvait s’illustrer. La bibliothèque est une autre
facette du Napoléon prisonnier largement ignorée jusqu’à maintenant. À la
faveur de cette histoire, c’est bel et bien un portrait jamais dessiné des
dernières années de Napoléon que dessine ici Jacques Jourquin, celui d’un
homme qui retrouve un de ses plus vieux engouements, sur lequel il concentre
ses dernières forces, ses derniers espoirs. Tiré d’archives inédites,
ignorées pendant deux cents ans, de Saint-Denis, le « garde des livres » de
l’Empereur, ce livre renouvelle considérablement la connaissance que nous
avions de l’exil à Sainte-Hélène.
ses geôliers, il était encore et toujours un homme d’action. En plus de dicter
ses mémoires, il a eu une passion méconnue et dévorante : sa bibliothèque. Il
finit par s’y investir totalement, comme dans le seul domaine où il pouvait
retrouver son pouvoir perdu. Les livres étaient désormais les seuls champs de
bataille sur lesquels il pouvait s’illustrer. La bibliothèque est une autre
facette du Napoléon prisonnier largement ignorée jusqu’à maintenant. À la
faveur de cette histoire, c’est bel et bien un portrait jamais dessiné des
dernières années de Napoléon que dessine ici Jacques Jourquin, celui d’un
homme qui retrouve un de ses plus vieux engouements, sur lequel il concentre
ses dernières forces, ses derniers espoirs. Tiré d’archives inédites,
ignorées pendant deux cents ans, de Saint-Denis, le « garde des livres » de
l’Empereur, ce livre renouvelle considérablement la connaissance que nous
avions de l’exil à Sainte-Hélène.
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