- EAN13
- 9782600317153
- Éditeur
- Droz
- Date de publication
- 2013
- Collection
- Travaux d'Humanisme et Renaissance
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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"Petite patrie". L'image de la région natale chez les écrivains de la Renaissance
Actes du colloque de Dijon, mars 2012, réunis et introduits par Sylvie Laigneau-Fontaine
Droz
Travaux d'Humanisme et Renaissance
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-
Papier - Droz 56,12
Cet ouvrage, fruit d’un colloque international qui s’est déroulé à Dijon en
mars 2012, réfléchit au thème de la région natale chez les écrivains de la
Renaissance, qu’ils écrivent en latin ou en français. Il se propose de
considérer l’image que ceux-ci ont laissée de leur « petite patrie », comme
Cicéron qualifiait Arpinum. Tout en s’intéressant à des auteurs d’Europe du
Sud (le Mantouan Battista Spagnoli, l’Espagnol Juan Luis Vivès), il fait la
part belle aux écrivains de Nord, connus ou moins connus, issus de pays variés
(Flamands, Germains, Ecossais, Français...).
Les communications dégagent les caractéristiques d’un humanisme du nord qui,
par son ancrage régional, s’affirme en opposition ou en rivalité avec
l’humanisme du sud, et analysent les différentes modalités de la description
de la région natale: élogieuse souvent, plus rarement critique, celle-ci est
parfois «biaisée» (la «petite patrie» n’est pas le lieu de naissance mais un
autre lieu), voire refusée (en particulier par les auteurs protestants).
L’ensemble se présente comme un vaste aperçu de l’image qu’ont laissée de leur
région natale une trentaine d’auteurs de genres littéraires divers, de pays
divers, de confessions diverses, mais qui tous témoignent du caractère très
riche de ce motif pour une herméneutique de leurs œuvres..
mars 2012, réfléchit au thème de la région natale chez les écrivains de la
Renaissance, qu’ils écrivent en latin ou en français. Il se propose de
considérer l’image que ceux-ci ont laissée de leur « petite patrie », comme
Cicéron qualifiait Arpinum. Tout en s’intéressant à des auteurs d’Europe du
Sud (le Mantouan Battista Spagnoli, l’Espagnol Juan Luis Vivès), il fait la
part belle aux écrivains de Nord, connus ou moins connus, issus de pays variés
(Flamands, Germains, Ecossais, Français...).
Les communications dégagent les caractéristiques d’un humanisme du nord qui,
par son ancrage régional, s’affirme en opposition ou en rivalité avec
l’humanisme du sud, et analysent les différentes modalités de la description
de la région natale: élogieuse souvent, plus rarement critique, celle-ci est
parfois «biaisée» (la «petite patrie» n’est pas le lieu de naissance mais un
autre lieu), voire refusée (en particulier par les auteurs protestants).
L’ensemble se présente comme un vaste aperçu de l’image qu’ont laissée de leur
région natale une trentaine d’auteurs de genres littéraires divers, de pays
divers, de confessions diverses, mais qui tous témoignent du caractère très
riche de ce motif pour une herméneutique de leurs œuvres..
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