- EAN13
- 9782753526877
- Éditeur
- Presses universitaires de Rennes
- Date de publication
- 21/02/2013
- Collection
- Spectaculaire | Cinéma
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Le court métrage français de 1945 à 1968
De l'âge d'or aux contrebandiers
Presses universitaires de Rennes
Spectaculaire | Cinéma
Autre version disponible
L'âge d'or : Georges Franju, Alain Resnais, Pierre Kast, Jean Mitry, Chris
Marker, Agnès Varda, et un sens du collectif dont témoignent, dans les années
50, le groupe des Trente pour la défense du court métrage français ou les
critiques de cinéma faisant leurs gammes dans le court métrage avant de lancer
la Nouvelle Vague. Les contrebandiers : Luc Moullet, Jean-Daniel Pollet, Jean
Eustache ou le producteur Barbet Schroeder qui, dans le contexte moins
favorable des années 60, créent une œuvre personnelle en se jouant de la
notion de commande et revendiquent les vertus de l'amateurisme. Ce volume
n'entend pas seulement rendre hommage aux oeuvres courtes passées à la
postérité. Il rappelle le contexte législatif et économique d'une production
de films qui ne furent pas conçus pour être vus isolément, mais en «
complément de programme » d'un long métrage. Il signale le rôle des
producteurs aventureux. Il s'attache aux entrelacements de la fiction et du
documentaire à une époque où court métrage était le plus souvent synonyme de
documentaire. Il retrace la généalogie du film d'art ou du court métrage
expérimental. Autour des grands noms consacrés, c'est tout un vivier, de films
qui reste aujourd'hui à redécouvrir.
Marker, Agnès Varda, et un sens du collectif dont témoignent, dans les années
50, le groupe des Trente pour la défense du court métrage français ou les
critiques de cinéma faisant leurs gammes dans le court métrage avant de lancer
la Nouvelle Vague. Les contrebandiers : Luc Moullet, Jean-Daniel Pollet, Jean
Eustache ou le producteur Barbet Schroeder qui, dans le contexte moins
favorable des années 60, créent une œuvre personnelle en se jouant de la
notion de commande et revendiquent les vertus de l'amateurisme. Ce volume
n'entend pas seulement rendre hommage aux oeuvres courtes passées à la
postérité. Il rappelle le contexte législatif et économique d'une production
de films qui ne furent pas conçus pour être vus isolément, mais en «
complément de programme » d'un long métrage. Il signale le rôle des
producteurs aventureux. Il s'attache aux entrelacements de la fiction et du
documentaire à une époque où court métrage était le plus souvent synonyme de
documentaire. Il retrace la généalogie du film d'art ou du court métrage
expérimental. Autour des grands noms consacrés, c'est tout un vivier, de films
qui reste aujourd'hui à redécouvrir.
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