- EAN13
- 9782845782044
- Éditeur
- Manucius
- Date de publication
- 08/07/2013
- Collection
- Le Philosophe
- Langue
- français
- Langue d'origine
- allemand
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
La Vie, les amours et les aventures de Diogène le cynique surnommé le Socrate fou
C. M. Wieland
Manucius
Le Philosophe
Autre version disponible
-
Papier - Manucius 13,20
On croyait tout savoir de Diogène le Cynique, c'est-à-dire, presque rien.
Hormis les paraphrases de son homonyme Laerce, de Claudius Elienus et de
quelques autres. Mais voici qu'un livre vient troubler le jeu. Découvert en
1770 par le grand Christophe Martin Wieland, l'auteur d'Obéron, le Voltaire
allemand selon Mme de Staël, dans la bibliothèque d'une abbaye de l'ordre de
saint *** et étrangement passé sous silence jusqu'à ce jour par les divers
commentateurs et hagiographes de notre philosophe. C'est que sans doute le
mystère lui sied. Les éditions Manucius ont cru devoir porter à la
connaissance de l'honnête homme un texte, de la main même de Diogène selon
Wieland, (écrit à la craie sur les parois intérieures de son tonneau) qui
apporte un éclairage nouveau et décisif sur le Maître de la pensée cynique.
Ainsi que quelques inéluctables réparties qui viennent magistralement
compléter celles que nous a léguées la tradition. Diogène visitant Platon
aurait dit, après avoir traversé grand nombre d'appartements somptueusement
décorés, frappant du pied sur un superbe tapis qui couvrait le plancher : "Je
foule aux pieds l'orgueil de Platon ! "Et moi, reprit Platon, j'aperçois
l'orgueil de Diogène à travers des trous de son habit"...
Hormis les paraphrases de son homonyme Laerce, de Claudius Elienus et de
quelques autres. Mais voici qu'un livre vient troubler le jeu. Découvert en
1770 par le grand Christophe Martin Wieland, l'auteur d'Obéron, le Voltaire
allemand selon Mme de Staël, dans la bibliothèque d'une abbaye de l'ordre de
saint *** et étrangement passé sous silence jusqu'à ce jour par les divers
commentateurs et hagiographes de notre philosophe. C'est que sans doute le
mystère lui sied. Les éditions Manucius ont cru devoir porter à la
connaissance de l'honnête homme un texte, de la main même de Diogène selon
Wieland, (écrit à la craie sur les parois intérieures de son tonneau) qui
apporte un éclairage nouveau et décisif sur le Maître de la pensée cynique.
Ainsi que quelques inéluctables réparties qui viennent magistralement
compléter celles que nous a léguées la tradition. Diogène visitant Platon
aurait dit, après avoir traversé grand nombre d'appartements somptueusement
décorés, frappant du pied sur un superbe tapis qui couvrait le plancher : "Je
foule aux pieds l'orgueil de Platon ! "Et moi, reprit Platon, j'aperçois
l'orgueil de Diogène à travers des trous de son habit"...
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