- EAN13
- 9782251446592
- ISBN
- 978-2-251-44659-2
- Éditeur
- Les Belles Lettres
- Date de publication
- 09/03/2017
- Collection
- Commentario
- Nombre de pages
- 260
- Dimensions
- 21,4 x 13,5 x 2,1 cm
- Poids
- 510 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Petit manuel de la campagne électorale et Lettres à son frère Quintus
Quintus Tullius Cicéron, Cicéron
Les Belles Lettres
Commentario
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Les textes réunis ici constituent un dialogue épistolaire entre l’orateur et politicien Marcus Cicéron et son frère cadet Quintus, sur l’art et la manière de réussir en politique à la fin de la République romaine.
En 64 avant J.-C., Marcus Cicéron est candidat au consulat. Son frère cadet Quintus rédige pour lui un Petit manuel de la campagne électorale, qui expose les rouages d’une élection à haut risque, et détaille les démarches attendues du candidat, offrant ainsi un tableau saisissant du système politique romain. Chemin faisant, il pose des questions toujours d’actualité : comment concilier séduction électorale et fidélité à soi-même et à ses principes ? Comment rassembler le plus grand nombre autour de sa candidature, et ménager les intérêts des diverses classes sociales ? Quelques années plus tard, Quintus dirige la province d’Asie : Marcus lui adresse alors deux longues lettres, qui examinent son exercice et brossent le portrait du gouverneur idéal, autour d’autres questions fondamentales : comment exercer un pouvoir absolu sans verser dans la tyrannie ? L’éducation intellectuelle peut-elle garantir la moralité du dirigeant et lui imposer le souci des valeurs humaines ?
Article "Cicéron-Macron, même combat" par Éric Zemmour :
À chaque phrase, à chaque conseil, à chaque recommandation, on ne peut s'empêcher de s'éloigner en pensée de Rome pour voguer vers Paris : le consul se fait président, et derrière Cicéron se glisse notre Macron.
En 64 avant J.-C., Marcus Cicéron est candidat au consulat. Son frère cadet Quintus rédige pour lui un Petit manuel de la campagne électorale, qui expose les rouages d’une élection à haut risque, et détaille les démarches attendues du candidat, offrant ainsi un tableau saisissant du système politique romain. Chemin faisant, il pose des questions toujours d’actualité : comment concilier séduction électorale et fidélité à soi-même et à ses principes ? Comment rassembler le plus grand nombre autour de sa candidature, et ménager les intérêts des diverses classes sociales ? Quelques années plus tard, Quintus dirige la province d’Asie : Marcus lui adresse alors deux longues lettres, qui examinent son exercice et brossent le portrait du gouverneur idéal, autour d’autres questions fondamentales : comment exercer un pouvoir absolu sans verser dans la tyrannie ? L’éducation intellectuelle peut-elle garantir la moralité du dirigeant et lui imposer le souci des valeurs humaines ?
Article "Cicéron-Macron, même combat" par Éric Zemmour :
À chaque phrase, à chaque conseil, à chaque recommandation, on ne peut s'empêcher de s'éloigner en pensée de Rome pour voguer vers Paris : le consul se fait président, et derrière Cicéron se glisse notre Macron.
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