- EAN13
- 9782234088184
- ISBN
- 978-2-234-08818-4
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 22/01/2020
- Collection
- Essais - Documents
- Nombre de pages
- 250
- Dimensions
- 21,5 x 14 x 2,4 cm
- Poids
- 368 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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pour rendre la vie plus légère / les livres, les femmes, les manières
Les livres, les femmes, les manières
De Alain Finkielkraut, Mona Ozouf
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Essais - Documents
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« Pourquoi la littérature ? Parce que la littérature nous pourvoit de dons que nous n’avons pas. Elle nous pourvoit immédiatement de l’ubiquité. Grâce à la littérature, nous vivons dans des pays, des villes où nous n’avons jamais posé le pied. Grâce à la littérature, nous pouvons reculer vers des époques révolues. Il y a une sorte d’immense liberté que donne la pratique des livres, et que nous n’avons pas. La démultiplication de l’existence dans la littérature est une chance précieuse. »
Ce volume contient les principales émissions faites par Mona Ozouf à « Répliques », sous la direction d’Alain Finkielkraut : sur les femmes et la singularité de leur écriture ; sur les livres comme « patrie » ; sur la galanterie française ; sur la civilité ; sur le Panthéon ; sur la Révolution française ; sur Henry James ; sur George Eliot. Les partenaires avec lesquels elle dialogue ici sont Diane de Margerie, Claude Habib, Pierre Manent, Geneviève Brisac, Philippe Belaval, Philippe Raynaud, Patrice Gueniffey.
C’est tout un parcours intellectuel qui est ici dessiné, depuis ses travaux fondateurs sur la Révolution française jusqu’à ce qu’elle appelle ses « échappées belles » en littérature.
Mona Ozouf est une « figure aussi discrète que rayonnante de la scène intellectuelle française », comme l’écrit Jean Birnbaum dans Le Monde. À bonne distance de tous les enrôlements et de toutes les assignations identitaires, elle maintient inébranlable le souci d’une ligne originale.
Ce volume contient les principales émissions faites par Mona Ozouf à « Répliques », sous la direction d’Alain Finkielkraut : sur les femmes et la singularité de leur écriture ; sur les livres comme « patrie » ; sur la galanterie française ; sur la civilité ; sur le Panthéon ; sur la Révolution française ; sur Henry James ; sur George Eliot. Les partenaires avec lesquels elle dialogue ici sont Diane de Margerie, Claude Habib, Pierre Manent, Geneviève Brisac, Philippe Belaval, Philippe Raynaud, Patrice Gueniffey.
C’est tout un parcours intellectuel qui est ici dessiné, depuis ses travaux fondateurs sur la Révolution française jusqu’à ce qu’elle appelle ses « échappées belles » en littérature.
Mona Ozouf est une « figure aussi discrète que rayonnante de la scène intellectuelle française », comme l’écrit Jean Birnbaum dans Le Monde. À bonne distance de tous les enrôlements et de toutes les assignations identitaires, elle maintient inébranlable le souci d’une ligne originale.
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