- EAN13
- 9782847955446
- ISBN
- 978-2-84795-544-6
- Éditeur
- Esprit du temps
- Date de publication
- 03/03/2022
- Collection
- TEXTES ESSENTIE
- Nombre de pages
- 351
- Dimensions
- 19 x 14 x 2,7 cm
- Poids
- 384 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Avec cet ouvrage, L’Esprit du Temps alimente le débat sur la propriété et propose au lecteur une vision différente de ce que Proudhon a tout d’abord présenté comme étant un vol et du poids de celle-ci dans le processus civilisationnel.
« Qui a pu faire que la propriété, instinct naturel de l’homme, de l’enfant, de l’animal, but unique, récompense indispensable du travail, fût mise en question ? »
Cet essai date de 1848 – année qui voit la naissance de la Seconde République, et l’affrontement entre théoriciens de la remise en cause de la propriété et les économistes libéraux qui prennent sa défense.
Le texte de Thiers peut être considéré comme l’antithèse du « Qu’est-ce que la propriété ? » de Proudhon – ouvrage déjà publié à L’Esprit du Temps dans la même collection – ; en effet, Adolphe Thiers affronte la théorie « communiste » du célèbre anarchiste.
À la propriété c’est le vol, Thiers oppose donc la propriété comme fondement de toute société. La propriété serait à l’origine de la prospérité et des autres libertés, son caractère universel la rendant nécessaire au développement des sociétés, avant toute autre réalité économique. Le débat, près de deux siècles plus tard, n’est toujours pas clos.
« Qui a pu faire que la propriété, instinct naturel de l’homme, de l’enfant, de l’animal, but unique, récompense indispensable du travail, fût mise en question ? »
Cet essai date de 1848 – année qui voit la naissance de la Seconde République, et l’affrontement entre théoriciens de la remise en cause de la propriété et les économistes libéraux qui prennent sa défense.
Le texte de Thiers peut être considéré comme l’antithèse du « Qu’est-ce que la propriété ? » de Proudhon – ouvrage déjà publié à L’Esprit du Temps dans la même collection – ; en effet, Adolphe Thiers affronte la théorie « communiste » du célèbre anarchiste.
À la propriété c’est le vol, Thiers oppose donc la propriété comme fondement de toute société. La propriété serait à l’origine de la prospérité et des autres libertés, son caractère universel la rendant nécessaire au développement des sociétés, avant toute autre réalité économique. Le débat, près de deux siècles plus tard, n’est toujours pas clos.
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