- EAN13
- 9782840164883
- ISBN
- 978-2-84016-488-3
- Éditeur
- Presses universitaires de Paris Nanterre
- Date de publication
- 20/04/2023
- Collection
- Les arts en correspondance
- Nombre de pages
- 202
- Dimensions
- 23,9 x 18 x 1,2 cm
- Poids
- 586 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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L'humour contre la violence
Myriam Bahia Lopes, Claudine Haroche, Ségolène Le Men, Leon Kossovitch, Olivier Mongin
Presses universitaires de Paris Nanterre
Les arts en correspondance
Offres
Les auteurs s'interrogent sur l'humour en tant que forme de pouvoir et de
contre-pouvoir, ou encore de résistance, face à des individus ou des groupes,
dans des contextes différents.
L’humour serait-il un moyen de détourner l’aliénation? Qu’il s'exprime
visuellement par le dessin, la caricature, le graffiti ou par le cinéma,
l’humour joue sur la richesse du langage pour prévenir, voire briser la
violence. Ainsi, la caricature, expression internationale, évolue dans chaque
pays en fonction des différents régimes politiques et tient compte, dans
l'exercice du langage, de l'alternance entre périodes de liberté d'expression
et de censure. L’humour est-il un moyen d’exercer sa liberté de pensée?
Permet-il d'échapper à la montée d'une violence insidieuse, de s’y confronter
physiquement, dans une société fondée uniquement sur les valeurs marchandes?
Peut-il inverser, réduire ou neutraliser la violence ressentie et vécue? Et
plus largement, peut-il agir contre une identité rigide et conformiste?
contre-pouvoir, ou encore de résistance, face à des individus ou des groupes,
dans des contextes différents.
L’humour serait-il un moyen de détourner l’aliénation? Qu’il s'exprime
visuellement par le dessin, la caricature, le graffiti ou par le cinéma,
l’humour joue sur la richesse du langage pour prévenir, voire briser la
violence. Ainsi, la caricature, expression internationale, évolue dans chaque
pays en fonction des différents régimes politiques et tient compte, dans
l'exercice du langage, de l'alternance entre périodes de liberté d'expression
et de censure. L’humour est-il un moyen d’exercer sa liberté de pensée?
Permet-il d'échapper à la montée d'une violence insidieuse, de s’y confronter
physiquement, dans une société fondée uniquement sur les valeurs marchandes?
Peut-il inverser, réduire ou neutraliser la violence ressentie et vécue? Et
plus largement, peut-il agir contre une identité rigide et conformiste?
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