- EAN13
- 9782917504741
- ISBN
- 978-2-917504-74-1
- Éditeur
- Éditions La Barque
- Date de publication
- 05/11/2024
- Nombre de pages
- 48
- Dimensions
- 18 x 11,6 x 0,6 cm
- Poids
- 64 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Marginalia à 'La Naissance de la tragédie' de Friedrich Nietzsche
Rainer Maria Rilke
Éditions La Barque
Offres
-
11.00
Inédit en français.
Suite, reprise ou pendant à "Notes sur la mélodie des choses" (1898), les "Marginalia à "La Naissance de la tragédie" de Friedrich Nietzsche", jusqu’alors inédits en français et retrouvés dans la succession de Lou Andreas-Salomé, datent de 1900. Ainsi, Rilke poursuit-il sa réflexion entamée deux ans auparavant, et en appelle à « l’homme intemporel », à l’écoute profonde de « l’ample mélodie de l’arrière-fond » qui le conduit depuis les grecs jusqu’au matin du xxe siècle à une pensée sur l’art convoquant la peinture, plus encore fortement le théâtre et la poésie, la sienne tout particulièrement, ainsi que, bien entendu, la musique elle-même avec laquelle, on le sait, il entretint un rapport ambigu cependant qu’il y voyait « la première expression parfaite » de ce qu’il situe à l’origine : « le ressac de l’illimité. »
Les "Marginalia" sont aussi l’œuvre critique d’une lecture essentielle du texte de Nietzsche duquel parfois il s’éloigne, confirmant son intérêt d’alors pour le philosophe tout en préférant compter sur ses seules ressources intérieures.
Suite, reprise ou pendant à "Notes sur la mélodie des choses" (1898), les "Marginalia à "La Naissance de la tragédie" de Friedrich Nietzsche", jusqu’alors inédits en français et retrouvés dans la succession de Lou Andreas-Salomé, datent de 1900. Ainsi, Rilke poursuit-il sa réflexion entamée deux ans auparavant, et en appelle à « l’homme intemporel », à l’écoute profonde de « l’ample mélodie de l’arrière-fond » qui le conduit depuis les grecs jusqu’au matin du xxe siècle à une pensée sur l’art convoquant la peinture, plus encore fortement le théâtre et la poésie, la sienne tout particulièrement, ainsi que, bien entendu, la musique elle-même avec laquelle, on le sait, il entretint un rapport ambigu cependant qu’il y voyait « la première expression parfaite » de ce qu’il situe à l’origine : « le ressac de l’illimité. »
Les "Marginalia" sont aussi l’œuvre critique d’une lecture essentielle du texte de Nietzsche duquel parfois il s’éloigne, confirmant son intérêt d’alors pour le philosophe tout en préférant compter sur ses seules ressources intérieures.
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