- EAN13
- 9782902702695
- ISBN
- 978-2-902702-69-5
- Éditeur
- Imago
- Date de publication
- 1992
- Collection
- IMAGO (EDITIONS)
- Nombre de pages
- 146
- Dimensions
- 22,5 x 14 x 1 cm
- Poids
- 223 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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On a tenté, ces dernières années, de faire de l’accouchement un événement non violent. Mais la naissance d’un enfant n’est-elle pas toujours pour la mère un brutal arrachement, déclenchant angoisse et culpabilité ?
Au cœur de la maternité, Michèle Benhaïm, décèle la présence d’un sombre noyau. Un insoutenable fantasme — « j’ai tué mon enfant » — surgit chez la femme qui donne pourtant la vie. Dès lors, qu’elle se montre trop aimante et possessive, absente ou « mauvaise », la voici confrontée, tragiquement et douloureusement, à l’impensable, à l’inavouable, et son attitude en portera l’indélébile trace. S’appuyant sur nombre de cas, l’auteur apporte un nouvel éclairage non seulement sur les multiples aspects de la pathologie de la maternité — dépression postnatale, anorexie du nourrisson… — mais aussi sur l’inquiétude et le trouble propres à toute mère.
Il faudrait, nous dit Michèle Benhaïm, pour soulager la femme de l’anxiété et de la culpabilité qui l’étouffent en finir une bonne fois avec l’image de la mère parfaite et donner toute sa dimension à la terrible ambivalence maternelle.
Auteur de plusieurs ouvrages, Michèle Benhaïm est psychanalyste et psychologue clinicienne au Centre hospitalier de Marseille. Elle est maître de conférences en psychopathologie clinique et psychanalyse à l’université de Provence.
Au cœur de la maternité, Michèle Benhaïm, décèle la présence d’un sombre noyau. Un insoutenable fantasme — « j’ai tué mon enfant » — surgit chez la femme qui donne pourtant la vie. Dès lors, qu’elle se montre trop aimante et possessive, absente ou « mauvaise », la voici confrontée, tragiquement et douloureusement, à l’impensable, à l’inavouable, et son attitude en portera l’indélébile trace. S’appuyant sur nombre de cas, l’auteur apporte un nouvel éclairage non seulement sur les multiples aspects de la pathologie de la maternité — dépression postnatale, anorexie du nourrisson… — mais aussi sur l’inquiétude et le trouble propres à toute mère.
Il faudrait, nous dit Michèle Benhaïm, pour soulager la femme de l’anxiété et de la culpabilité qui l’étouffent en finir une bonne fois avec l’image de la mère parfaite et donner toute sa dimension à la terrible ambivalence maternelle.
Auteur de plusieurs ouvrages, Michèle Benhaïm est psychanalyste et psychologue clinicienne au Centre hospitalier de Marseille. Elle est maître de conférences en psychopathologie clinique et psychanalyse à l’université de Provence.
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