- EAN13
- 9782714441416
- ISBN
- 978-2-7144-4141-6
- Éditeur
- Belfond
- Date de publication
- 03/11/2005
- Collection
- Domaine Français - Histoire / Biographie
- Nombre de pages
- 280
- Dimensions
- 22,6 x 14,1 x 2,4 cm
- Poids
- 368 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 944.035
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Marie-Antoinette
les dangereuses liaisons de la reine
De Michel de Decker
Belfond
Domaine Français - Histoire / Biographie
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Autre version disponible
Michel De Decker nous entraîne dans l'intimité d'une reine à qui l'on a toujours reproché d'avoir voulu faire son bonheur sur terre avant de partir trop tôt pour un monde meilleur.
Vierge et martyre ou papillon frivole ? Marie-Antoinette est à la fois la plus célèbre et la plus méconnue des reines de France.
Avec tendresse et ironie, Michel de Decker brosse un portrait nouveau de cette femme fantasque et malheureuse, à l'émouvant destin tragique.
Légère, aimant les toilettes, les colliers, les bals, les fleurs et les cinq à sept intimes à Trianon, elle n'a longtemps songé qu'à s'amuser avec de fieffés libertins et des coquines évaporées. Comment n'aurait-elle pas trompé son empoté de mari, lui qui passait le plus clair de son temps à chasser à courre et à bricoler des serrures ? Dans les bras de Hans-Axel de Fersen, par exemple, ce bel officier suédois prêt à se sacrifier pour elle et qui aurait même pu lui sauver la vie.Marie-Antoinette a aimé l'argent, la gloire, le pouvoir et l'amour mais elle est toujours restée digne. Surtout au moment de gravir la dernière marche, celle qui conduit à la mort.
Vierge et martyre ou papillon frivole ? Marie-Antoinette est à la fois la plus célèbre et la plus méconnue des reines de France.
Avec tendresse et ironie, Michel de Decker brosse un portrait nouveau de cette femme fantasque et malheureuse, à l'émouvant destin tragique.
Légère, aimant les toilettes, les colliers, les bals, les fleurs et les cinq à sept intimes à Trianon, elle n'a longtemps songé qu'à s'amuser avec de fieffés libertins et des coquines évaporées. Comment n'aurait-elle pas trompé son empoté de mari, lui qui passait le plus clair de son temps à chasser à courre et à bricoler des serrures ? Dans les bras de Hans-Axel de Fersen, par exemple, ce bel officier suédois prêt à se sacrifier pour elle et qui aurait même pu lui sauver la vie.Marie-Antoinette a aimé l'argent, la gloire, le pouvoir et l'amour mais elle est toujours restée digne. Surtout au moment de gravir la dernière marche, celle qui conduit à la mort.
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