- EAN13
- 9782365472050
- ISBN
- 978-2-36547-205-0
- Éditeur
- ST LEGER PROD
- Date de publication
- 07/2015
- Collection
- TOUT A TOUS
- Dimensions
- 18,5 x 14 x 0,5 cm
- Poids
- 84 g
- Fiches UNIMARC
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Si l’Église réfléchit depuis déjà longtemps autour de la protection de la nature, jamais un pape ne lui a consacré une encyclique, son mode d’expression le plus solennel.
Les mots italiens Laudato si’ : Dieu soit loué, qui ouvre la première encyclique du pape François sont les premiers du Cantique des créatures, écrit par Saint François d’Assise peu avant sa mort en 1226. Considéré comme l’un des premiers textes de la littérature italienne, le Poverello y célèbre Dieu à travers sa création : frère soleil, soeur lune, frère vent, soeur eau, frère feu, notre mère la terre.
Ce texte sous-titré : « La responsabilité pour notre bien commun » porte sur « l’Ecologie humaine », thème plus large que la défense de la nature et touche la manière dont la société gère la création de Dieu et la distribue aux hommes. Il souligne le lien qui existe entre d’une part la protection de l’environnement, et d’autre part la justice sociale, et condamne le consumérisme et le capitalisme sauvage, comme origines du réchauffement climatique. L’environnement ne connaît pas les frontières, rappelle le Pape François et met en jeu la solidarité entre les hommes. L’écologie est affaire de justice, à l’encontre des générations à venir, mais aussi des peuples les plus pauvres, les premiers menacés par les conséquences du dérèglement climatique
Les mots italiens Laudato si’ : Dieu soit loué, qui ouvre la première encyclique du pape François sont les premiers du Cantique des créatures, écrit par Saint François d’Assise peu avant sa mort en 1226. Considéré comme l’un des premiers textes de la littérature italienne, le Poverello y célèbre Dieu à travers sa création : frère soleil, soeur lune, frère vent, soeur eau, frère feu, notre mère la terre.
Ce texte sous-titré : « La responsabilité pour notre bien commun » porte sur « l’Ecologie humaine », thème plus large que la défense de la nature et touche la manière dont la société gère la création de Dieu et la distribue aux hommes. Il souligne le lien qui existe entre d’une part la protection de l’environnement, et d’autre part la justice sociale, et condamne le consumérisme et le capitalisme sauvage, comme origines du réchauffement climatique. L’environnement ne connaît pas les frontières, rappelle le Pape François et met en jeu la solidarité entre les hommes. L’écologie est affaire de justice, à l’encontre des générations à venir, mais aussi des peuples les plus pauvres, les premiers menacés par les conséquences du dérèglement climatique
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