- EAN13
- 9782707182449
- ISBN
- 978-2-7071-8244-9
- Éditeur
- La Découverte
- Date de publication
- 25/02/2016
- Collection
- Repères (REP 000668)
- Nombre de pages
- 125
- Dimensions
- 19,1 x 12,1 x 1 cm
- Poids
- 139 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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L'enseignement technique reste souvent méconnu, et considéré comme une filière de relégation dans le système éducatif français. Pourtant, l'histoire de ses institutions, de ses personnels, de ses publics et de ses méthodes pédagogiques depuis deux siècles est indispensable pour comprendre sa richesse et sa diversité. Un aspect méconnu et passionnant de l'histoire du travail en France.
L'enseignement technique reste souvent méconnu et considéré comme une filière de relégation dans le système éducatif français. Pourtant, l'histoire de ses institutions, de ses personnels, de ses publics et de ses méthodes pédagogiques est indispensable pour comprendre sa richesse et sa diversité. Celles-ci s'expliquent d'abord par le dynamisme local des collectivités, de certaines entreprises et de groupements syndicaux ou associatifs ; puis l'État s'est préoccupé de plus en plus nettement de l'organisation de cet enseignement. Les besoins de formation technique de la main-d'œuvre relèvent ainsi de politiques précises, menées par différents promoteurs et dont il faut interroger les finalités, les modes de financement et les modalités pédagogiques, entre l'école et l'atelier, sans présupposer la parfaite rationalité économique de la formation. L'histoire du travail, celle des savoirs et des savoir-faire relèvent d'expériences multiples, individuelles et collectives, que l'étude de l'enseignement technique du XVIIIe siècle à nos jours aide à éclairer.
L'enseignement technique reste souvent méconnu et considéré comme une filière de relégation dans le système éducatif français. Pourtant, l'histoire de ses institutions, de ses personnels, de ses publics et de ses méthodes pédagogiques est indispensable pour comprendre sa richesse et sa diversité. Celles-ci s'expliquent d'abord par le dynamisme local des collectivités, de certaines entreprises et de groupements syndicaux ou associatifs ; puis l'État s'est préoccupé de plus en plus nettement de l'organisation de cet enseignement. Les besoins de formation technique de la main-d'œuvre relèvent ainsi de politiques précises, menées par différents promoteurs et dont il faut interroger les finalités, les modes de financement et les modalités pédagogiques, entre l'école et l'atelier, sans présupposer la parfaite rationalité économique de la formation. L'histoire du travail, celle des savoirs et des savoir-faire relèvent d'expériences multiples, individuelles et collectives, que l'étude de l'enseignement technique du XVIIIe siècle à nos jours aide à éclairer.
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